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Le Blog de jlduret

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Pensez juste ou pensez faux mais pensez par vous-même ! Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner. Sans cette liberté d’exprimer opinions et pensées, point de démocratie.


Arnaque climatique … encore.

Publié par jlduret sur 12 Décembre 2014, 17:50pm

Catégories : #Climatosceptique, #Climat, #Réchauffement climatique

Arnaque climatique … encore.

Il faut vous y faire: l'année qui vient va être pénible, car en prévision de la conférence de fin 2015 à Paris, les réchauffistes de tout poil et les politiques en mal de sondages positifs vont nous gaver de contre-vérités éhontées, appuyés par une Presse incapable "d'investiguer" le sujet.
Nous allons donc nous atteler à démonter leurs âneries, pour prendre date, car le jour viendra où il faudra que les coupables paient leur dette aux contribuables tondus que nous sommes.

Tondus, oui, mais pas aveugles, ni stupides.

Par Walter Stark

Biologiste marin, Walter Stark a passé une grande partie de sa carrière à étudier les récifs coralliens et écosystèmes de la pêche.

Chercheurs de rente, opportunistes, universitaires de troisième zone, escrocs du marché du carbone et vendeurs de prophéties catastrophiques peuvent voir la bulle alarmiste se dégonfler, et ils essayent plus que jamais d’entretenir la peur. Le problème c'est que Mère Nature n’est pas coopérative.

Le débat n'est pas clos

Cela ne signifie pas que le “débat” sur le changement climatique va s’arrêter, que les journaux de news vont arrêter de présenter la météo comme une menace terrible, ou que les vrais croyants ne seront plus obsédés.

Dame Nature ne coopère pas avec les réchauffistes

Cependant, l’arbitre ultime, le climat lui-même a rendu clairement sa décision en cessant de se réchauffer depuis plus de 18 ans. En dépit du développement de la consommation de carburants fossiles, de la certitude à 95% de 97% de scientifiques et des projections puissantes des modèles climatiques les plus avancés du monde, le climat a refusé d’accorder la moindre attention.

Contrairement à l’assurance et aux prédictions des présumés experts, les tempêtes ne sont ni plus intenses ni plus fréquentes, alors que les sécheresses, inondations et niveaux des mers ont décliné pour infirmer les espoirs mal dissimulés de désastres des alarmistes. C’est tout simplement que les présumés experts et leurs modèles surpuissants faisaient erreur.

Le climat a cessé de s’échauffer et, avec peu ou pas d’effet de serre, la théorie entière du Réchauffement Global Anthropique Catastrophique (RGAC), alias Changement Climatique (CC), alias Réchauffement Global (RG), alias Météo Extrême se trouve sans aucune base.

Arnaque inédite

Le débat sur le CC fut unique dans l’histoire des sciences en ce que ses partisans ont largement abandonné la primauté des évidences et une méthodologie claire et accessible en faveur d’une autorité autoproclamée s’appuyant sur ses méthodes et modèles confidentiels.

Il est également unique en ce que les alarmistes refusent le débat, préférant ignorer, censurer ou pratiquer l’ad hominem. En quelques occasions, au début du débat public, les partisans tentèrent de débattre directement avec leurs critiques mais se trouvèrent en infériorité et refusèrent par suite toute discussion directe.

Non la vérité scientifique n'est pas établie

Sans réponses convaincantes aux incertitudes et preuves contraires soulevées par leurs opposants ils décidèrent simplement de les ignorer, déclarant la science “établie” et se proclamant eux-mêmes comme les seuls experts.

Tous ceux qui n’étaient pas d’accord furent jugés fous, canailles et/ou prébendés par le lobby de l’énergie.

La Presse moutonnière

Avec une presse naïve et docile imprégnée de la même doctrine du politiquement correct, le même endoctrinement de gauche que les chercheurs, ces derniers ont bénéficié d’un quasi monopole de couvertures média favorables. Des communiqués sur mesure étaient régurgités tels quels sous la signature de "journalistes" de l’environnement, se plaçant eux-mêmes volontairement comme des sténographes inconditionnels.

Mais le public est mieux informé que ne le souhaiteraient les alarmistes

Cependant, bien que les alarmistes aient été traités avec bienveillance par les medias mainstream, sur Internet ce fut une autre histoire. Non seulement les alarmistes du climat n’étaient pas avantagés en ligne, mais le public réfléchissant considérait de plus en plus le Web comme leur première source d'informations. Le domaine digital se trouvait hors contrôle ou influence particuliers, ouvert à la diffusion d’arguments ou preuves opposés. C’était aussi le lieu d’exposition de mauvaises pratiques, dévoilant régulièrement des faits faisant voler en éclat la façade d’expertise et de droiture que les alarmistes avaient érigé autour d’eux.

La crosse de hockey scientifiquement démentie

Voyez comment Wattsupwiththat a démoli le charlatan Michael Mann et sa tristement célèbre crosse de hockey, et les courriels de Climategate qui révélèrent jusqu’où les réchauffistes professionnels sont prêts à aller pour réduire les sceptiques au silence, non sans rabaisser les conventions du processus de revue par les pairs.

Si çà ne chauffe plus …..

Battant en retraite, les alarmistes du climat essayent actuellement de nier l’absence de réchauffement en jouant avec les relevés de température pour "prouver" qu’il continue. Leurs explications toujours plus imaginatives – la chaleur se cache au fond de l’océan ; les alizés faussent les relevés de température – reflètent de plus en plus leur désespoir.

Ce qui rend les choses pires pour les alarmistes, c’est qu’il est de plus en plus clair que le climat global a non seulement cessé de se réchauffer mais pourrait en réalité commencer à se refroidir.

Des hivers sévères, battant souvent des records, demandent de plus en plus d’"ajustements" non déclarés aux relevés de température publiés. Ces ajustements consistent principalement à réduire les températures passées et augmenter les plus récentes sans quoi l’absence de réchauffement serait plus évidente.

Lorsque de tels changements ont été découverts et questionnés, la réponse a été de radoter à propos d’"homogénéisation" et de "bonne pratique universelle" ou de suggérer que de telles corrections sont nécessaires parce que, tiens, les Japonais avaient bombardé Darwin et que, par conséquent, les températures des villes côtières devaient être reconstruites à partir des chiffres de Daly Waters, loin à l’intérieur.

Ces explications, cependant, sont inévitablement longues, leur contexte hypothétique et leurs justifications fichtrement déficientes.

Réchauffiste, mauvaise foi, même combat

Plus généralement, le même genre de réponse a été également apporté dans divers cas où de mauvaises pratiques de la science du climat ont été révélées. Tout d’abord le problème est nié, puis il est balayé comme étant sans importance et, finalement, une tentative est faite pour se justifier d’une erreur excusable.

Dans des cas plus flagrants, lorsque le scandale n’est plus dans les journaux, le scélérat peut recevoir quelque récompense prestigieuse certifiant ainsi du peu d’importance des méfaits.

Pour tout observateur attentif, tout ceci, combiné à l’absence notable de désaveu de la part des collègues, ne fait que confirmer la corruption maintenant systémique de la science du climat.

Non, les USA et la Chine ne feront rien

Actuellement, le récent accord Chine/USA est présenté comme une importante percée dans la lutte contre le changement climatique. En réalité, il s’avère être un accord non contraignant de ne rien faire d’ici 2030.

Jusque là, la Chine est libre d’accroître ses émissions quand les USA sont d’accord pour continuer à réduire les leurs en lien avec les réductions déjà réalisées et anticipées grâce à la conversion en cours du charbon et du pétrole vers le gaz naturel.

Pour la Chine, cet accord permet une atténuation sans frais de la pression diplomatique sur leurs émissions en augmentation. Du côté US cela fournit à Obama l’excuse d’obligations diplomatiques pour demander à son exécutif de mettre en œuvre diverses mesures peu susceptibles d’être approuvées par un Congrès contrôlé par les Républicains.

Comme la ratification par le Congrès serait nécessaire pour tout accord climatique contraignant et qu’une telle ratification sera probablement refusée ou prendra du temps, le chèque en blanc pour l’exercice de l’exécutif peut demeurer utile pour quelque temps.

La vérité est que la menace d’un changement climatique catastrophique a presque certainement été considérablement exagérée

Aux niveaux préindustriels de CO2 la rétroaction de l’énergie IR dans les bandes d’absorption de ce gaz était entièrement absorbée à quelques décimètres de la surface. Plus de CO2 concentre seulement l’absorption un peu plus près de la surface mais le mélange à ce niveau distribue toujours rapidement l’énergie calorique à travers un bien plus grand volume de la troposphère inférieure alors qu’en même temps, en augmentant aussi le transport de chaleur depuis la surface accroissant l’évaporation, on peut s’attendre à une augmentation de la couverture nuageuse.

Savoir quel serait le réchauffement réel est hautement problématique. Les preuves empiriques indiquent maintenant qu’un tel réchauffement serait probablement bien moindre qu’estimé par les alarmistes – si faible probablement qu’il serait noyé par d’autres variables naturelles.

Le seul effet significatif dù avec quelque certitude à l’accroissement du CO2 jusqu’ici a été un verdissement marqué des régions arides et une hausse des rendements agricoles.

L'Homme va de toutes façons vers des consommations plus raisonnables

Avec ou sans tout accord ou initiatives gouvernementales, l’économie, les développements technologiques et les changements démographiques vont, le moment venu, réduire la demande en carburants fossiles et les remplacer par d’autres sources d’énergie plus propres.

Les développements sur les réacteurs au thorium et la fusion sont de plus en plus prometteurs pour produire efficacement et sans limite une énergie propre d’ici quelques décennies. Pour l’usage domestique, la technologie solaire photovoltaïque commence à devenir compétitive avec l’électricité classique, avec des gains de compétitivité supplémentaires dans le futur proche.

On attend des progrès majeurs dans la technologie du stockage pour devenir commercialement disponible dans quelques années. Une technologie solaire meilleure et plus abordable pour alimenter maisons et véhicules va probablement déclencher une prise en compte de masse dans une décennie.

Ce sera poussé par la rentabilité sans besoin de subventions. En effet, une telle aide risque d’être plus néfaste que bénéfique si elle détourne le développement et prend le pas sur les technologies les meilleures et les plus efficaces émergeant d’une frontière scientifique complexe changeante et impossible à prédire.

Le GIEC ? Une machine à faire peur

L’argument souvent avancé est que la menace du changement climatique doit être réelle car une conspiration impliquant une écrasante majorité de scientifiques du monde entier n’est tout simplement pas crédible.

Ceci est hypocrite car la menace climatique, comme le montre la machine à faire peur du GIEC, est loin de représenter un consensus scientifique ou même une majorité. L’opinion scientifique mondiale est largement partagée, la position alarmiste étant concentrée en Europe et dans le monde anglo-saxon. Même là, il existe des milliers d’hérétiques, y compris de nombreux chercheurs de haut niveau et respectés et possédant l'expertise voulue.

Quelques douzaines de scientifiques de seconde zone seulement sont "réchauffistes"

Le cœur des partisans alarmistes se compose seulement de quelques douzaines d’universitaires, pour la plupart de troisième zone, dont la réputation est minime en dehors de l’alarmisme climatique. Ils se sont approprié la niche, ont négligé le champ interdisciplinaire de la climatologie, se sont proclamés autorités mondiales, ont déclaré une crise globale, reçu de généreuses subventions pour l’étudier et sont devenus l’objet d’une attention internationale. Ils ont été aidés et encouragés par différents compagnons de route qui y voient un avantage pour divers autres agendas.

Une conspiration ne nécessite pas d’organisation secrète

Elle peut être implémentée aussi facilement que par un clin d’œil et un signe de tête lorsque les buts et les méthodes sont connus de tous les participants. Il est temps de reconnaître l’escroquerie climatique pour ce qu’elle est : une conspiration pour escroquer sur une échelle monumentale.

Bien que le climat lui-même présente son irréfutable argument opposé, les prophètes ratés ne concèderont jamais volontiers leur défaite jusqu’à ce que la réalité ne les force à fermer leur bouche.

Dans ce cas la réalité qui leur fermera le clapet semble probablement prendre la forme d’une rude météo hivernale menant à un black-out électrique généralisé dans un réseau surchargé victime de sous-investissement, mauvais investissement, restrictions et négligence.

Tout ceci provenant de politiques climatiques malencontreuses. Jusqu’au moment crucial, les chercheurs de prébende et leurs idiots utiles dans la presse déblatèreront et feront rage sans s’arrêter, leurs gagne pains et leurs carrières reposant sur leur capacité à perpétuer le canular qu’ils nous ont imposé.

Comme si souvent, Shakespeare l’exprime parfaitement: "un conte dit par un idiot, plein de bruit et de fureur, sans signification."

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